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Le symbole du soleil à travers l'histoire

Par : Veronique - Catégories : Tout savoir sur les symboles

Source de vie et de pouvoir, le soleil a toujours véhiculé mythes et légendes. Élément nécessaire, apportant lumière et chaleur, il régulait la vie en communauté et inspirait par sa puissance. Vénéré dans de nombreuses cultures, il s’est érigé en symboles et en divinités.

Voyons ensemble les représentations qui ont marqué l’astre de feu.

Signification du soleil

Le dictionnaire nous en donne la définition suivante : "Astre qui donne lumière et chaleur à la Terre, et rythme la vie à sa surface."

Toutefois, si on regarde le symbolisme du soleil à travers les traditions et les religions, il revêt un caractère bien plus important qu'on ne le pense.

Le soleil a de tout temps fasciné les hommes, qui l'ont vénéré.

La symbolique du Soleil

En alchimie, le symbole du Soleil et de l’or est un cercle avec un point au centre. Il représente l’intérieur avec tout ce qui gravite autour. En astronomie comme en astrologie, le symbole est le même.

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Symbole astronomique de la lune et du soleil

L'usage de symboles astronomiques pour le soleil et la lune date de l'Antiquité. Ils apparaissent dans les papyrus d'horoscopes grecs sous la forme d'un cercle avec un rayon pour le soleil et d'un croissant pour la lune

Le symbole solaire moderne, un cercle avec un point au centre (☉), apparaît en Europe à la Renaissance.

Ces symboles sont également employés dans les textes alchimiques, le soleil représentant l'or, la lune l'argent, etc.

La roue du soleil

Le soleil a de tout temps fasciné les hommes. Dans les civilisations ancestrales, il est représenté par un rond pourvu d’un point en son centre. Ce symbole rappelle le cycle du soleil, du lever jusqu’au coucher.

La roue du soleil vient de la sagesse des anciens. Elle représente les deux principes universels du masculin et du féminin, du yin et du yang : l’homme et la femme qui s’unissent et deviennent androgynes, c’est-à-dire créateurs par la pensée, le sentiment, la volonté et l’acte. Et par leur acte, ils apportent l’amour, la bonté, la dignité ou alors la bêtise, la destruction, le néant.

Pour nos ancêtres, le soleil était le symbole de la vie, de la conscience supérieure : quand il n’est plus là, tout disparaît, plus rien n’existe car on ne voit plus rien, et quand il est là, tout apparaît et l’on peut se diriger.

Le soleil était le symbole de la conscience et l’absence de soleil était le symbole de l’homme qui n’est pas fixé, qui rêve, qui ne voit pas la réalité des choses, baignant dans des illusions.

C’est cette sagesse de la roue du soleil, qui éveille l’homme à la conscience supérieure, et de la roue des illusions, qui l’enferme dans un monde mort.

La roue à quatre branches, que l’on nomme dans les Écoles des Mystères la roue du soleil, est l’un des symboles universels les plus anciens et les plus répandus qui soient. Depuis la préhistoire, il fut vivant dans beaucoup de peuples et de traditions.

On retrouve cette roue des quatre éléments dans la roue de la médecine des Amérindiens, qui est un cercle avec une croix à l’intérieur.

On retrouve aussi la roue solaire chez les Celtes, à travers la croix celtique, ainsi que chez les Basques, dans le lauburu, la croix à branches courbes qui figure le Dieu solaire Egu.

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Dans la Grèce ancienne, on la découvre dans la légende de Prométhée, qui déroba une semence de feu à la roue du soleil et la rapporta aux hommes, qui s’étaient vu refuser l’usage du feu par Zeus.

Cette roue du soleil de l’Olympe, c’est aussi le svastika, que l’on peut décrire comme une croix composée de quatre branches prenant la forme de la lettre grecque gamma en capitale (Γ), d’où le surnom de « croix gammée » que lui donnèrent les nazis.

Presque tous les anciens peuples ont parlé de cette croix qui tourne.

•   Elle symbolise pour les Hindous le Dieu Ganesh, que l’on invoque comme la force positive qui écarte les obstacles. Il s’agit de l’un des deux principaux symboles de l’Hindouisme, qui représente le cycle naissance, souffrance, mort et renaissance.
•   Pour les Francs-maçons, elle représente l’univers, le centre de la croix symbolisant l’étoile polaire, et les quatre branches, les quatre points cardinaux.
•   Dans le Jaïnisme, elle symbolise le Tirthankara Suparsva, le septième saint, celui qui est parvenu au septième échelon de la sagesse.
•   Chez les Tibétains, elle est appelée yungdrung, ce qui signifie « éternel ».
•   C’est l’idéogramme chinois « dix mille » ou « myriade », c’est-à-dire l’éternité ou « le cœur de Bouddha », et elle symbolise dans le Bouddhisme chinois la réalisation des dix mille mérites, qui mènent au nirvana.
•   Dans le Bouddhisme zen, une branche du Bouddhisme japonais, elle est le « sceau de l’esprit du Bouddha ». Il n’est d’ailleurs pas rare de voir des statues de l’Éveillé avec un svastika sur la poitrine ou sur le front.
•   Le svastika est utilisé par les navajos, pour qui c’est la « bûche tournoyante » liée aux rites de guérison, tandis que chez les Hopis, il représente les pérégrinations des clans.
•   Ce symbole était très présent dans les traditions religieuses de plusieurs tribus amérindiennes, si bien que jusqu’en 1940, on pouvait le voir sur les bornes des routes départementales de l’État de l’Arizona, aux États-Unis d’Amérique.
•   Ce symbole est si ancien qu’on l’a même retrouvé à samarra, sur des céramiques et des pièces de monnaie datant de la Mésopotamie, environ 5500 ans avant J.-C.

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Après que ce symbole eut représenté la Lumière, la sagesse, l’éternité, l’illumination durant des siècles sur la terre, vint un homme qui le choisit comme emblème de son règne de terreur : Adolf Hitler.

Depuis cet épisode sombre de l’humanité où il fut le symbole du régime nazi, le svastika, la roue du soleil, n’évoque plus la Lumière mais les ténèbres.

Pourtant, ce symbole n’a pas changé ; seul le regard de l’homme posé sur lui a changé, car il a été teinté, manipulé, illusionné pour ne plus voir la Lumière là où elle se cache.

Dieu du soleil ou déesse du soleil ?

Symbole d’éternité, de lumière, de vie, de sagesse, de prospérité, de chaleur, d’espoir, le soleil est considéré dans la plupart des cultures comme un élément masculin. Dans le taoïsme notamment, il est le principe masculin opposé à la lune, principe féminin. On retrouve cette dualité dans le yin et le yang.

D’une façon générale, le soleil est vu comme un principe masculin et actif.

Certains peuples nomades d’Asie centrale le considéraient toutefois comme un principe féminin (la Mère soleil), c’est aussi le cas des Japonais pour qui le Soleil est le kami Amaterasu, la grande déesse, sœur de Tsukuyomi, le kami de la Lune.

Même dans la langue allemande, le Soleil est féminin selon son article (die Sonne). Dans la mythologie nordique, les enfants de Mundilfari et Glaur se nomment Sol (déesse du Soleil) et Máni (dieu de la Lune).

Souvent, le Soleil représente le pouvoir. Cet astre donne la vie et si le Soleil venait à disparaitre, ou même si ses rayons ne nous parvenaient plus, la vie s’éteindrait sur Terre, d’où le symbole de vie (donneur de vie). Si le soleil n’est pas associé à un dieu, des personnalités l’ont associé à eux-mêmes comme le roi de France Louis XIV surnommé le Roi-Soleil (couronné de Dieu). Et la famille impériale japonaise se targue de descendre d’Amaterasu, déesse du Soleil.

Le soleil, divinité parmi les divinités

Le mot soleil tire son origine du latin sol, solis, qui signifie astre et divinité.

Dans de nombreuses civilisations, il est incarné par un dieu. Tantôt gardien du temps, comme Utu chez les Babyloniens, tantôt défenseur de la justice, comme Shamash chez les Sumériens, le soleil tient une place centrale parmi les divinités.

Dans la mythologie aztèque, Huitzilopochtli est à la fois dieu du soleil et de la guerre et maître du monde.

Chez les Perses, c’est Mithra qui se présente comme l’esprit du bien et l’ordonnateur du monde, avec ses mille yeux et ses mille oreilles. Apollon, dans la mythologie romaine, est le dieu de la musique et du chant, de la beauté masculine et de la lumière solaire.

Citons également Hélios, dieu du Soleil personnifié, souvent représenté avec une couronne rayonnante et chevauchant un char à travers le ciel.

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Le symbole soleil en Égypte : qui est le dieu du Soleil ?

La mythologie égyptienne a érigé Rê, dieu du Soleil, comme le plus puissant d’entre tous. Il adopte selon la légende trois formes différentes. Khépri, le scarabée, représente le soleil levant. Rê, le disque solaire, le soleil de midi et Atoum, vieil homme appuyé sur son bâton, le soleil couchant. Chaque soir, la déesse du ciel avale Rê et le fait naviguer dans une barque céleste.

Ce qu'il faut savoir c'est qu'il y a plus de dix mille ans, vivaient en Inde sept grands rois de Lumière, comme des demi-Dieux qui régnaient sur la terre. On les appelait « O-Rishis », ce qui signifie « Fils du Soleil ». Plus tard, les Égyptiens appelleront le Père de toute vie « Osiris », mot dans lequel nous retrouvons toutes les composantes phonétiques du nom « Ri-shis ».

En effet, « Osiris » peut aussi se prononcer « O-Shi-Ris ». Ainsi, Osiris était le Père des Rishis, des pharaons, celui qui engendre les Fils du Soleil, comme il est dit dans les Évangiles en parlant de Jésus qui reçoit le Saint-Esprit sous la forme d’une colombe : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, aujourd’hui je l’ai engendré. » En Égypte, Pharaon recevait le Saint-Esprit et l’onction de la royauté sous la forme du faucon Horus. Ces images parlent d’une science et d’un savoir universels, communs à toutes les traditions des peuples.

En appelant « Is-Ra-El » le peuple des Enfants de la Lumière quittant le paradis perdu (l’Égypte usurpée), Moïse révéla sa filiation directe avec les anciens Rishis et aussi qu’il était un prêtre d’Isis et d’Osiris, un fils d’Horus, un héritier de la science secrète des pharaons.

En effet, nous retrouvons de nouveau les mêmes composantes phonétiques que dans les deux noms précédents. Dans un très ancien langage, encore antérieur à ceux de l’Inde et de l’Égypte antiques (mais dans lequel celles-ci puisèrent leur propre langage), « IS » désigne l’homme, « RA » correspond au Soleil et « EL » signifie Dieu. « Israël » peut être ainsi traduit par « l’homme éveillé dans le Soleil de Dieu ».

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Telle était l’appellation secrète des initiés et des prêtres d’Égypte dont Moïse était le chef suprême, l’unique pharaon légitime. Deux mille ans plus tard, c’est Jésus qui deviendra ce chef suprême, le Soleil de Dieu vivant dans un homme, comme son nom l’indique : en hébreu, Jésus-Roi se prononce « Ie-shou-a-ra » et Israël, « I-shou-a-ra- el ». C’est le même nom !

Le soleil source de lumière chez les Celtes

Le soleil est considéré par les peuples celtes comme la source de toute lumière. Bélénos, dieu du Soleil, symbolise l’harmonie et la beauté. Il réchauffe l’âme et le corps et sait guérir tous les maux.

D’après Wikipédia, Bélénos était honoré le 1er mai, lors de la fête de Beltane, Beltaine ou "Beltene" en Irlande, c'est-à-dire "les feux de Bélénos". Celle-ci marque une rupture dans l'année, le passage de la saison sombre à la saison claire, lumineuse.

Lors de cette fête, les druides accomplissaient un rituel consistant à faire passer le bétail au travers de la fumée produite par les feux, en récitant des incantations, pour le purifier et le protéger des épizooties. Tous les feux rituels lui étaient en partie associés, à commencer par les feux de la Saint Jean au solstice d'été et les bures préservés par la paysannerie à l'époque mérovingienne en période de carnaval.

Lors de cette dernière occasion, les sauts vigoureux des danseurs au-dessus du foyer collectif annonçaient la hauteur des récoltes (céréales, lin...) à engranger. Notons que la grandeur de la tige (donc de la paille) était attribuée à Lug ou à la Lune, alors que la grosseur du grain était conférée à Bélénos/Grannos.
 
Tous les sanctuaires consacrés à la lumière ou au culte solaire étaient de son domaine. Son culte semble avoir été important dans l'ensemble du monde celtique puisque des inscriptions ont été retrouvées dans de nombreux territoires gaulois.

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Le culte romain à la gloire du soleil

Sol invictus, qui signifie en latin « soleil invaincu », est une divinité solaire dont le culte est apparu au IIIème siècle dans la Rome antique. Proclamée par l’empereur Aurélien comme le patron principal de l’Empire romain, elle est fêtée chaque année le 25 décembre, jour du solstice d’hiver. Cette célébration, appelée le « jour de la naissance du soleil invaincu » prolonge la période des Saturnales, une fête ancienne qui fut la plus importante de Rome.

L’Empereur Constantin fera par la suite du dimanche le « jour du soleil », un jour de repos en hommage au Sol Invictus. Le basculement de l’Empire dans le Christianisme au IVème siècle transforme la fête du Sol Invictus en fête de la naissance de Jésus.

Le symbole soleil en Inde

Dans la religion hindouiste, polythéiste, le dieu Soleil est incarné par Surya.

Dans l'hindouisme, Sūrya (de la racine sanskrite sur ou svar, briller) est le dieu Soleil, fils d'Āditi et de Kashyapa. Il a quatre épouses, Samjnâ, la connaissance, Râjnî, la souveraineté, Prabhâ, la lumière et Châyâ, l'ombre. C'est le père de Manu, le premier homme et le législateur de l'humanité, mais aussi de Yama, le dieu de la Mort et de Yamî qui deviendra, après sa mort, la rivière Yamunâ, un des trois fleuves les plus sacrés de l'hindouisme.

Source d’énergie et de lumière, il enveloppe la terre et met en mouvement les êtres et les choses.

La mythologie indienne raconte que chaque jour il traversait le ciel accompagné d’Ushas, qui représente l’aurore. Son éclat et sa chaleur nourrissaient, mais pouvaient aussi détruire les êtres. Il était si éblouissant que son épouse décida de le quitter.

Dans l’iconographie indienne, Surya est présenté comme un jeune homme auréolé du disque solaire, conduisant un char de lumière tiré par 7 chevaux. Ils représentent les 7 jours de la semaine.

Le mythe des dix soleils en Chine

Le cycle du Soleil a inspiré bien d’autres légendes. Un mythe chinois raconte qu’à la création du monde se trouvaient 10 soleils. Fils de Jun, dieu du Ciel, ils vivaient ensemble dans un arbre géant. Chaque jour, l’un d’eux était autorisé à se lever et s’ériger au sommet de l’arbre. Il partait ensuite dans un char tiré par six dragons pour accomplir une ronde dans le ciel. Puis, il rejoignait ses frères au pied de l’arbre géant et l’obscurité retombait.

Un jour, les dix soleils décidèrent de se lever et partir ensemble. Ils infligèrent à l’humanité une chaleur insoutenable et provoquèrent la sécheresse. Des monstres apparurent et les hommes connurent la famine. Jun prit pitié et envoya son meilleur archer pour mettre fin à la vie de ses fils rebelles. L’un d’eux fut heureusement épargné.

Si tous les peuples ont vénéré le soleil, ce n’est vraiment pas un hasard.

Le Soleil représente le monde divin car c’est le seul astre, dans notre système solaire, qui soit demeuré fidèle : il est toujours lumineux, il ne s’est pas densifié, il n’est pas réellement matière. Il est la source de toute existence, de toute création. Tout vient de lui. Sans lui, il n’y a rien.

Alors voici une prière d’invocation pour vous relier au soleil.

Prière d’invocation au soleil

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« Ô Mère (Nature), je veux m’approcher du Soleil dans la pureté et l’authenticité
de mon être vrai, lui, le roi
de la lumière, de l’amour et de la vérité. Que ma pensée soit le prolongement
et la manifestation de sa lumière ici-bas. Que mon cœur et mes sentiments
soient emplis par sa chaleur.

Que ma volonté soit en accord
avec la force créatrice d’harmonie du Soleil. Je veux être sur la terre comme le Soleil
est dans le ciel, rayonnant et puissant".

« Toi, Soleil qui te lèves sur le monde pour chasser toutes ténèbres,
pour triompher de la mort et ressusciter la vie dans tous les mondes, enseigne-moi la grandeur, la pureté,
la véritable sagesse qui peuvent habiter
 et vivre à travers ce texte. Éclaire-moi, que je devienne
un enfant du Soleil."

Amin


Asseyez-vous maintenant sur la Mère en méditation.

Ouvrez tout votre être pour que s’éveillent en vous la lumière dans votre pensée, la chaleur dans votre cœur et la vie pure dans votre ventre, dans votre volonté et dans toutes les cellules de votre corps.

Percevez la grande aura de lumière du Soleil (levant de préférence) qui embrasse et enveloppe tout.

Entrez en elle comme si vous entriez dans un temple magique, invisible et pourtant parfaitement réel. Éveillez-vous dans la perception fine des deux mondes : un monde grossier et limité dans lequel vous êtes cloisonné et ne pouvez pas respirer, et l’autre monde, celui de la Lumière sans fin. Ce sont réellement deux mondes, et si vous entrez dans l’un ou l’autre, vous ne serez pas du tout dans le même état.

Rendez cela parfaitement conscient et évident dans tout votre être.

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Mandala pour se relier au soleil

Le Mandala de l’Optimisme est vraiment évocateur du symbole soleil et à lui tout seul il nous illumine de ses rayons flamboyants !

Il nous fait prendre conscience que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais comment puis-je le croire quand tout autour de moi n’est que malheur, peine, misère, hypocrisie... ?

Il nous dit que si notre intention est belle, nous serons emplis de dieu. Si notre œuvre est bienfaitrice, nous serons bénis de la Lumière.

Lorsque la vie fabriquée par les hommes vous tourmentera, ne baissez pas les yeux et ne vous nourrissez pas des forces inférieures de la terre. Restez toujours les yeux levés vers le ciel et même pendant la tempête, rappelez-vous de votre idéal qui fait vivre votre âme et chanter votre cœur.

Là est la véritable force.

Le mot de conclusion

Regardez le soleil matinal avec authenticité et votre visage s’illuminera, votre cœur chantera, votre corps aura envie de danser. Le soleil est artiste dans son âme et la terre est son tableau. Qui peut nier que le soleil est le créateur de toutes les couleurs et qu’il en joue à merveille ?

C’est parce qu’il est artiste qu’il éveille l’artiste en vous. Ainsi, il produit à l’extérieur de lui ce qu’il est réellement en lui. Alors, dans sa lumière, dans sa chaleur, dans sa vie, nous avons envie de rire, de chanter, de danser, de célébrer la vie. Le soleil a ce pouvoir de détendre votre visage et de dilater votre cœur.

Puis il éveille le sourire, le rire, la joie s’exprime, la créativité se manifeste. Qu’est-ce que le rire ? Un prolongement du sourire qui vient d’une dilatation du cœur touché par un rayon de soleil. Telle est la vie. Les êtres à la triste mine se sont coupés du soleil-artiste et de sa conscience supérieure. Leur cœur est fermé à ses rayons, ce qui fait qu’aucune couleur, aucune saveur ne peut sortir d’eux. Ils sont sérieux, c’est-à-dire qu’ils ont « serré le rire en eux » (ser-ri-eux), ils ont compressé leur âme et ont pris la peur comme maître et comme idéal. Avoir peur et faire peur.

Et vous, quel choix faites-vous ?

Les Mandalas vibratoires sont des enfants du soleil-artiste et c’est son message qu’ils veulent répandre dans le monde et voir fleurir dans le cœur de chacun.

On arrive à la fin de cet article. J'espère qu'il vous a plu, n’hésitez pas à commenter, à partager et à vous abonner à notre newsletter pour être informé(e) des prochaines parutions.

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Sources :

Article de Claire Guichard dans le Bio Contact de juillet-août 2022
La roue du soleil aux Éditions Essénia

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